Symon Henry
Ses partitions graphiques ont été interprétées par l’Orchestre symphonique HSO Stuttgart, l’Ensemble SurPlus, le Nouvel Ensemble Moderne, Joseph Petric ou Kasia Kadlubowska. Son travail visuel a fait l’objet d’expositions chez Gham & Dafe, au Livart, à la Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal, à la Chapelle historique du Bon-Pasteur, ainsi qu’au Palazzo Ducale di Lucca.
En 2016, i·elle publie son premier recueil de poésie, son corps parlait pour ne pas mourir, ainsi que son premier livre de partitions graphiques, voir dans le vent qui hurle les étoiles rire, et rire. En 2020 s’ensuit le recueil poético-sonore L’amour des oiseaux moches (2020, finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur Général et au Prix Émile-Nelligan). Actuellement et après une résidence d’écriture à la Maison de la littérature du Québec en 2021, i·elle travaille sur le recueil Khawal (= mot égyptien qui signifie une personne que j’aime, mais aussi tapette = insulte).